By Phrastus of Elinhir
That Men and Mer can interbreed has been known since the first humans began arriving on the shores of Tamriel in the middle of the Merethic Era. However, broad intermingling of Elves and humans only occurred in the far northwest of the continent, giving rise to the race of Men known as the Bretons. Given the history of conflict between humans and the children of Aldmeris elsewhere in Tamriel, how and why did this intermingling occur in High Rock?
The answer lies in the peculiar (for Elves) culture of Clan Direnni, the once-dominant Mer of northwest Tamriel. In contrast to the Ayleids of Cyrodiil, who brutally enslaved any humans they came into contact with, the Direnni simply conquered their local Nedes and then ruled them as a caste of nobility. The aristocratic Elves established a system of feudal vassalage over their human subjects, with rights and privileges that included the "Perquisite of Coition" with any human they desired. Sex with attractive Nedes was considered casual recreation, and Direnni nobles competed to have stables of the most desirable human subjects.
The inevitable Half-Elven offspring from these liaisons were not adopted into the families of their Direnni parents, being considered sub-Mer, but were nonetheless often given privileged positions among the subject Nedes. Over time, this led to the establishment of a recognized caste of mixed-blood humans, who were given the name "Bretons" (from the Ehlnofex "beratu," or "half"). The Breton caste was only allowed to marry humans, so over time their Elven blood became more diluted, and the Nedic appearance predominated.
Though they wielded great power for a time in the First Era, even then the Elves of Clan Direnni were never numerous, and as their geographical hegemony expanded administration and rulership was increasingly handed off to the Breton caste. After defeating the invading Alessian Horde in 1E 482 Clan Direnni was scattered and effectively exhausted. As the Elves retreated to central High Rock, then finally Balfiera Isle, the Bretons stepped easily into their shoes, assuming the feudal hierarchy established by the Direnni and simply replacing them with their own noble families.
The Breton nobles, who had been forced to differentiate themselves from the Direnni part of their heritage, justified their new ascension by distancing themselves from Elves and everything Elven?ironically so, as the Elven blood ran strongest in the older noble families. The Direnni were increasingly vilified by their former vassals, and the island clan became ever more insular and isolationist. However, they were still known as powerful magicians, and they were strong enough to repel an attempted Redguard invasion in 1E 907.
The Bretons continued redefining themselves, inventing a myth of a history of noble resistance to Direnni rule, and developing a thriving merchant class that began trading around the coasts of Tamriel. By the time the Empress Hestra and her legions arrived at Bangkorai Pass in 1E 1029, they were ready to join the Empire of Men and embrace the Eight Divines. Under the Remans, High Rock was possibly the most stable and prosperous province in the Second Empire.
Which brings us back to the (deliberately provocative) question of our title: are the Bretons then mongrels, or paragons? The answer, of course, is both (though if you call a Breton a mongrel, he is liable to feed you an inch or two of steel). The passionate race of Bretons embodies the strengths of both Men and Mer?as well as their flaws.
Par Phraste d'Elinhir
L'on a conscience qu'Hommes et Mer peuvent connaître des amours fructueuses depuis que les premiers humains ont commencé d'arriver sur les rives de Tamriel, au milieu de l'?re Méréthique. Toutefois, ces lits mixtes n'ont vraiment commencé ? se composer que dans le lointain nord-ouest du continuent, donnant le jour ? la race d'hommes appelée brétonne. Vu l'histoire de conflits entre ces humains et les enfants d'Aldmeris partout ailleurs en Tamriel, comment et pourquoi ces métissages eurent-ils lieu ? Hauteroche ?
La réponse se trouve dans la culture étrange (pour des Elfes) du clan Direnni, les Mer autrefois dominants du nord-ouest de Tamriel. Contrairement aux Ayléides ou aux Cyrodiils, qui asservissaient brutalement tous les humains qu'ils rencontraient, les Dirennis se content?rent de conquérir les N?des locaux, puis les domin?rent en tant que caste noble. Les Elfes aristocrates établirent un syst?me féodal sur leurs sujets humains, avec des droits et privil?ges comme le ? Privil?ge de couchage ? avec tout Humain qui inspiraient leur désir. Tout rapport avec des N?des attirants était considéré comme un passe-temps récréatif, et les nobles Dirennis rivalisaient pour constituer les cheptels de sujets les plus désirables.
Les inévitables fruits semi-elfiques de ces liaisons n'étaient pas adoptés dans la famille de leur parent Direnni, car on les considérait inférieurs ? des Mer. Mais ils occupaient néanmoins une place de choix chez les N?des. Au fil du temps, cela mena ? la constitution d'une caste reconnue d'Humains au sang m?lé, qui reçurent le nom de Brétons (de l'ehlnofex ? bératu ?, ou ? semi ?). La caste brétonne n'avait le droit d'épouser que des humains, aussi leur sang elfique finit-il par se diluer, et l'apparence n?de prédomina.
Malgré la puissance qui fut leur ? une époque de la Premi?re ?re, m?me alors les Elfes du clan Direnni ne furent jamais nombreux, et tandis que leur hégémonie géographique s'étendait, l'administration et l'autorité furent de plus en plus souvent confiées ? la caste brétonne. Apr?s la défaite de la horde alessienne en 1E 482, le clan Direnni fut dispersé et virtuellement épuisé. ? mesure que les Elfes se repliaient vers le centre de Hauteroche, puis pour finir sur l'île de Balfiéra, les Brétons les remplac?rent sans peine, se glissant dans la hiérarchie féodale établie par les Direnni, pour leur substituer leurs propres familles nobles.
Les nobles brétons, forcés de se distinguer de leur héritage direnni, justifi?rent leur nouvelle ascension en se distanciant des Elfes et de tout ce qui était elfique ? fait ô combien ironique, puisque le sang elfique était plus présent dans les familles nobles que partout ailleurs. Les Dirennis furent peu ? peu vilipendés par leurs anciens vassaux, et les clans insulaires devinrent de plus ne plus isolationnistes. Toutefois, ils restaient connus comme puissants magiciens, et furent assez forts pour repousser une tentative d'invasion rougegarde en 1E 907.
Les Brétons continu?rent de se redéfinir, inventant une histoire mythique de noble résistance ? la domination dirennie, et développant une classe marchande prosp?re qui commença ? sillonner les côtes de Tamriel. Lorsque l'impératrice Hestra et ses légions arriv?rent au col de Bangkora? en 1E 1029, ils étaient déj? pr?ts ? rejoindre l'empire des Hommes et ? accepter les Huit Divins. Sous les Rémans, Hauteroche fut sans doute la plus stable et la plus prosp?re des provinces du Second Empire.
Ce qui nous ram?ne ? la question (délibérément provoquante) de notre titre : les Brétons sont-ils donc des bâtards, ou des parangons ? La réponse, bien s?r, est qu'ils sont les deux (quoique si vous traitez un Bréton de bâtard, il pourrait vous faire go?ter de sa lame). La race passionnée des Brétons incarne les forces des Hommes et des Mers, ainsi que toutes leurs faiblesses.
Von Phrastus von Elinhir
Dass Mensch und Mer sich paaren können, ist bekannt seit der Zeit, zu der die ersten Menschen gegen Mitte der Merethischen Ära an den Küsten von Tamriel auftauchten. Allerdings vermischten sich Elfen und Menschen nur im Nordwesten des Kontinents im größeren Stil, und daraus entstanden die Menschen, die als Bretonen bekannt sind. Angesichts der zahlreichen Konflikte zwischen den Menschen und den Kindern von Aldmeris andernorts in Tamriel stellt sich die Frage, wie und warum es zu dieser Vermischung in Hochfels kam?
Die Antwort findet sich in der (für elfische Verhältnisse) seltsamen Kultur von Klan Direnni, der einst die vorherrschende Elfengruppe im nordwestlichen Tamriel war. Im Gegensatz zu den Ayle?den von Cyrodiil, die alle Menschen, denen sie begegneten, brutal versklavten, eroberten die Direnni die Nedier in ihrer Nähe einfach und herrschten als Adelsklasse über sie. Die adligen Elfen führten ein System feudaler Lehnsherrschaft über ihre menschlichen Untertanen ein, mit Rechten und Privilegien wie dem ?Koitalen Vorrecht? auf jeden Menschen, der ihnen gefiel. Verkehr mit attraktiven Nediern galt als entspannender Freizeitspaß, und unter adligen Direnni gab es einen Wettstreit darüber, wer die ansehnlichsten menschlichen Untertanen in seinem Stall hatte.
Die zwangsläufigen halbelfischen Kinder aus diesen Verbindungen wurden nicht in die Familien ihrer dirennischen Eltern aufgenommen, da sie als Untermer galten, aber sie erhielten dennoch privilegierte Positionen unter den unterjochten Nediern. Mit der Zeit entstand daraus eine anerkannte Kaste von Menschen gemischter Herkunft, die den Namen ?Bretonen? erhielten (vom ehlnofexischen ?beratu? für ?halb?). Der bretonischen Kaste war es ausschließlich erlaubt, Menschen zu ehelichen, wodurch ihr elfisches Blut mit der Zeit immer mehr verdünnt wurde, und so trat wieder das Erscheinungsbild der Nedier in den Vordergrund.
Obgleich sie in der Ersten Ära zeitweise große Macht hatten, waren die Elfen von Klan Direnni nie sehr zahlreich, und als ihre geographische Vorherrschaft sich ausweitete, wurden Verwaltung und Herrschaft immer mehr in bretonische Hände übergeben. Nach dem Sieg über die Invasoren der alessianischen Horde im Jahr 1Ä 482 zersplitterte Klan Direnni und war mehr oder weniger verschwunden. Als sich die Elfen ins zentrale Hochfels und schließlich auf die Insel Balfiera zurückzogen, traten die Bretonen mühelos in ihre Fußstapfen und übernahmen die Feudalherrschaft, die die Direnni begründet hatten, indem sie die Elfen einfach durch ihre eigenen Adelsfamilien ersetzten.
Die bretonischen Adligen, die gezwungen worden waren, sich vom dirennischen Teil ihres Erbes abzuheben, rechtfertigten ihren Aufstieg dadurch, dass sie sich von Elfen und allem Elfischen distanzierten, was paradox ist, da das elfischen Blut in den älteren Adelsfamilien am stärksten vertreten war. Die Direnni wurden von ihren früheren Vasallen immer mehr verunglimpft, und der Inselklan schottete sich zunehmend ab. Allerdings waren sie noch immer bekannt als mächtige Magier, und sie waren stark genug, um eine versuchte Invasion der Rothwardonen im Jahr 1Ä 907 abzuwehren.
Die Bretonen definierten sich weiterhin neu und sponnen die Geschichte eines angeblichen Widerstandes gegen die Herrschaft der Direnni, und sie begründeten eine aufstrebende Händlerklasse, die Handel entlang der Küsten Tamriels betrieb. Als Kaiserin Hestra und ihre Legionen im Jahr 1Ä 1029 den Bangkoraipass erreichten, waren die Bretonen bereit, dem Kaiserreich der Menschen beizutreten und die Acht Göttlichen zu verehren. Unter den Remanern war Hochfels die wahrscheinlich stabilste und wohlhabendste Provinz des Zweiten Kaiserreichs.
Was uns wieder zur (absichtlich provokativen) Frage unseres Titels führt: Sind die Bretonen also Mischlinge oder Vorbilder? Die Antwort lautet natürlich ?beides?. Wobei man damit rechnen muss, einige Zentimeter Stahl schlucken zu müssen, wenn man einen Bretonen einen Mischling nennt. Das leidenschaftliche Volk der Bretonen verkörpert die Stärken von Mensch und Mer, jedoch auch ihre Schwächen.