Divayth Fyr was not easy to reach, and he was reluctant to share with Morian Zenas the secret Door to Oblivion. Fortunately, my master's knowledge of lore impressed Fyr, and he taught him the way. I would be breaking my promise to Zenas and Fyr to explain the procedure here, and I would not divulge it even if I could. If there is dangerous knowledge to be had, that is it, but I do not reveal too much by saying Fyr's scheme relied on exploiting a series of portals to various realms created by a Telvanni wizard long missing and presumed dead. Against the disadvantage of this limited number of access points, we weighed the relative reliability and security of passage, and we considered ourselves fortunate in our informant.
Morian Zenas then left this world to begin his exploration. I stayed at the library to transcribe his information and help him with any research he needed.
"Dust," he whispered to me on the first day of his voyage. Despite the inherent dreariness of the word, I could hear his excitement in his voice, echoing in my mind. "I can see from one end of the world to the other in a million shades of gray. There is no sky or ground or air, only particles, floating, falling, whirling about me. I must levitate and breathe by magical means ?."
Zenas explored the nebulous land for some time, encountering vaporous creatures and palaces of smoke. Though he never met the Daedric Prince, we concluded that he was in Ashpit, said to be the home of Malacath, where anguish, betrayal, and broken promises filled the bitter air like ash.
"The sky is on fire," I heard him say as he moved on to the next realm. "The ground is sludge, but traversable. I see blackened ruins all around me, like a war was fought here in the distant past. The air is freezing. I cast blooms of warmth all around me, but it still feels like daggers of ice stabbing me in all directions."
This was Coldharbour, where Molag Bal was the realm's Daedric Prince. It appeared to Zenas as if it were a future Nirn governed under the Lord of Brutality: desolate and barren, filled with suffering. I could hear Morian Zenas weep at the images he saw and shiver at the sight of the Imperial Palace, spattered with blood and excrement.
"Too much beauty," Zenas gasped when he went to the next realm. "I am half blind. I see flowers and waterfalls, majestic trees, a city of silver, but it is all a blur. The colors run like water. It's raining now, and the wind smells like perfume. This surely is Moonshadow, where Azura dwells."
Zenas was right, and astonishingly, he even had audience with the Queen of Dusk and Dawn in her rose palace. She listened to his tale with a smile and foretold to him the coming of the Nerevarine. My master found Moonshadow so lovely, he wished to stay there, half-blind, forever, but he knew he must move on and complete his journey of discovery.
"I am in a storm," he told me as he entered the next realm. He described the landscape of dark twisted trees, howling spirits, and billowing mist, and I thought he might have entered the Deadlands of Mehrunes Dagon. But then he said quickly, "No, I am no longer in a forest. There was a flash of lightning, and now I am on a ship. The mast is tattered. The crew is slaughtered. Something is coming through the waves ? oh, gods! Wait, now, I am in a dank dungeon, in a cell ?."
He was not in the Deadlands, but Quagmire, the nightmare realm of Vaermina. Every few minutes, there was a flash of lightning and reality shifted, always to something more horrible and horrifying. A dark castle one moment, a den of ravening beasts the next, a moonlit swamp, a coffin where he was buried alive. Fear got the better of my master, and he quickly passed to the next realm.
I heard him laugh, "I feel like I'm home now."
Morian Zenas described to me an endless library, shelves stretching on in every direction, stacks on top of stacks. Pages floated on a mystical wind that he could not feel. Every book had a black cover with no title. He could see no one, but felt the presence of ghosts moving through the stacks, rifling through books, ever searching.
It was Apocrypha, the home of Hermaeus Mora, where all forbidden knowledge can be found. I felt a shudder in my mind, but I could not tell if it was my master's or mine.
Morian Zenas never traveled to another realm that I know of.
Throughout his visits to the first four realms, my master spoke to me constantly. Upon entering the Apocrypha, he became quieter, as he was lured into the world of research and study, the passions that had controlled his heart while on Nirn. I would frantically try to call to him, but he closed his mind to me.
Then he would whisper, "This cannot be ?."
"No one would ever guess the truth ?."
"I must learn more ?."
"I see the world, a last illusion's shimmer, it is crumbling all around us ?."
I would cry back to him, begging him to tell me what was happening, what he was seeing, what he was learning. I even tried using Conjuration to summon him as if he were a Daedra himself, but he refused to leave. Morian Zenas was lost.
I last received a whisper from him six months ago. Before then, it had been five years, and three before that. His thoughts are no longer intelligible in any language. Perhaps he is still in Apocrypha, lost but happy, in a trap he refuses to escape.
I would save him if I could.
I would silence his whispers if I could.
Divayth Fyr ne fut pas aisé ? trouver et il se montra réticent ? l'idée de partager avec Morian Zenas la connaissance de la porte secr?te vers Oblivion. Heureusement, les connaissances encyclopédiques de mon maître impressionn?rent Fyr et il lui enseigna finalement le moyen de l'utiliser, mais je briserais la promesse faite ? Zenas et Fyr en expliquant ici la procédure d'utilisation de la porte. Et m?me si je pouvais la divulguer, je n'en ferais rien. S'il existe en ce monde une information dangereuse, c'est bien celle-ci. Mais ce ne sera pas trop en révéler que de dire que la technique de Fyr se basait sur l'utilisation d'une série de portails donnant sur divers mondes et créés par un magicien telvanni depuis longtemps disparu et présumé mort. Au désavantage de ce nombre limité de points d'acc?s, nous opposâmes la fiabilité apparente et la sécurité relative de ce passage et nous nous estimâmes heureux d'avoir rencontré notre informateur.
Morian Zenas quitta alors ce monde pour entamer son exploration. Je restai dans la biblioth?que pour transcrire les informations et l'aider dans les recherches dont il avait besoin.
? Poussi?re ? me murmura-t-il durant le premier jour de son périple. Malgré les résonances lugubres de ce mot, je perçus de l'excitation dans sa voix, telle qu'elle résonnait dans mon esprit. ? Je peux voir d'une extrémité du monde ? l'autre dans un million de nuances de gris. Il n'y a pas de ciel, de sol ou d'air, juste des particules qui flottent, tombent et tourbillonnent autour de moi. Je dois employer la lévitation et utiliser la magie pour respirer? ?
Zenas explora ce monde nébuleux pendant un moment et croisa des créatures vaporeuses dans des palais de fumée. Bien qu'il ne rencontrât jamais le prince, nous en concl?mes qu'il se trouvait en Fossendre, demeure supposée de Malacath, o? l'angoisse, la trahison et les serments brisés remplissaient l'air âcre, tels des nuages de cendres.
? Le ciel est en feu, l'entendis-je dire tandis qu'il se déplaçait vers le royaume suivant. Le sol est boueux, mais on peut s'y avancer. Tout autour de moi n'est que ruines calcinées, comme si une guerre avait eu lieu ici dans un lointain passé. L'air est glacé. Je projette de la chaleur tout autour de moi, mais j'ai malgré tout le sentiment d'?tre poignardé par des dagues de glace venues de toutes les directions. ?
Il s'agissait de Havreglace, dont le prince était Molag Bal. L'endroit donna ? Zenas l'impression d'?tre un futur Nirn, sous le r?gne du seigneur de la brutalité, aride et désolé, empli de souffrance. J'entendis Morian Zenas sangloter devant les images qu'il voyait et frissonner ? la vue du Palais impérial éclaboussé de sang et d'excréments.
? Trop de beauté, s'exclama Zenas lorsqu'il entra dans le monde suivant. Je suis ? moitié aveuglé. Je vois des fleurs et des cascades, des arbres majestueux, une cité d'argent, mais tout est flou. Les couleurs coulent comme de l'eau. Il pleut ? présent et le vent a l'odeur d'un parfum. Il doit s'agir d'Ombre de lune, demeure d'Azura. ?
Zenas avait vu juste. Plus surprenant encore, il obtint une audience avec la reine du crépuscule et de l'aube dans son palais de rose. Elle écouta son récit le sourire aux l?vres et lui annonça l'arrivée du Nérévarine. Mon maître trouva Ombre de lune si agréable qu'il émit le souhait d'y rester, ? moitié aveugle, ? tout jamais. Mais il savait devoir continuer d'avancer pour terminer son voyage d'exploration.
? Je suis au beau milieu d'une temp?te ?, me dit-il en pénétrant dans le royaume suivant. Il décrivit un paysage d'arbres sombres et déformés, d'esprits hurlants et de brumes ondoyantes. Je songeai qu'il avait peut-?tre pénétré sur les Terres mortes de Mérun?s Dagon. Mais il ajouta alors en hâte : ? Non, je ne suis plus dans une for?t. Un éclair a zébré le ciel et me voil? sur un navire. La mâture est en lambeaux, l'équipage massacré. Quelque chose s'approche au milieu des vagues? oh, par les dieux? Attendez, maintenant je suis dans un donjon froid et humide, dans une cellule? ?
Il ne se trouvait pas dans les Terres mortes, mais dans le Bourbier, le royaume cauchemardesque de Vaernima. Toutes les quelques minutes, un éclair provoquait un changement de la réalité, ? chaque fois plus horrible et terrifiante que l'instant d'avant. Un château ténébreux devenait soudain le repaire de b?tes voraces, puis prenait l'apparence d'un marécage au clair de lune ou d'un cercueil dans lequel Zenas était enterré vivant. La peur l'emporta sur mon maître qui se hâta de passer dans le monde suivant.
Je l'entendis alors rire : ? J'ai l'impression d'?tre chez moi ? présent ?.
Morian Zenas me décrivit une biblioth?que sans fin dont les étag?res s'étendaient ? l'infini dans toutes les directions, rayons par-dessus rayons. Les pages flottaient sur des vents mystiques qu'il ne pouvait pas percevoir. Tous les livres arboraient une couverture noire et sans titre. Il ne voyait personne, mais sentait la présence de fantômes évoluant entre les rayonnages et feuilletant les livres dans une qu?te sans fin.
Il s'agissait d'Apocrypha. La patrie de Hermaeus-Mora, o? toutes les connaissances interdites sont disponibles. Je sentis un frisson me traverser l'esprit, mais je n'aurais su dire s'il provenait de moi ou de mon maître.
Pour autant que je sache, Morian Zenas n'a jamais quitté ce royaume.
Au cours de ses visites dans les quatre mondes précédents, mon maître n'avait cessé de converser avec moi. Apr?s avoir pénétré en Apocrypha, il devint bien plus réservé tandis qu'il se laissait captiver par un univers de recherche et d'étude, les passions qui avaient gouverné son c?ur en Nirn. Je tentai plusieurs fois de l'appeler, mais il me ferma son esprit.
Apr?s cela, je ne l'entendis plus murmurer que de temps ? autre : ? Cela ne se peut? ?
? Personne ne devinerait jamais la vérité? ?
? Je dois en apprendre plus? ?
? Je vois le monde, les derniers ondoiements d'une illusion, tandis qu'il s'écroule tout autour de nous? ?
Je lui répondais en l'implorant, en le suppliant de me dire ce qui lui arrivait, ce qu'il voyait, ce qu'il apprenait. Je tentai m?me d'utiliser mon talent de conjuration pour le faire venir ? moi, comme s'il était lui-m?me un Daedra, mais il refusait de quitter cet endroit. Morian Zenas était perdu.
Le dernier murmure que j'ai reçu émanant de lui date de six mois. Auparavant, il s'était écoulé cinq ans, et trois ans encore avant cela. Ses pensées ne sont plus intelligibles dans aucune langue que je connaisse. Peut-?tre est-il encore en Apocrypha, perdu, mais heureux, enfermé dans un pi?ge dont il refuse de s'échapper.
Je le sauverais si je le pouvais.
Je ferais taire ses murmures si je le pouvais.
Es war nicht einfach, Divayth Fyr zu erreichen, und er teilte das Geheimnis der Tür ins Reich des Vergessens nur zögerlich mit Morian Zenas. Glücklicherweise beeindruckte ihn, wie gut sich mein Meister in den Überlieferungen auskannte, und so lehrte er ihn den Weg. Ich würde mein Versprechen an Zenas und Fyr brechen, wenn ich das Verfahren hier erklären würde, und ich würde es auch selbst dann nicht verraten, wenn ich könnte. Mir ist kein Wissen bekannt, das gefährlicher wäre, aber ich verrate nicht zu viel, wenn ich sage, dass Fyrs Plan darauf beruhte, eine Reihe von Portalen zu verschiedenen Reichen zu benutzen, die ein Telvanni-Zauberer erschaffen hatte, der seit langem vermisst ist und für tot gehalten wird. Gegen den Nachteil dieser begrenzten Anzahl von Zugangspunkten wogen wir die relative Zuverlässigkeit und Sicherheit des Weges ab und kamen zu dem Schluss, mit unserem Informanten Glück gehabt zu haben.
Anschließend verließ Morian Zenas diese Welt, um seine Erkundung zu beginnen. Ich blieb in der Bibliothek zurück, um seine Informationen aufzuzeichnen und ihm bei allen Recherchen zu helfen, die er brauchte.
?Staub?, flüsterte er mir am ersten Tag seiner Reise zu. Trotz der Trübsal, die diesem Wort innewohnt, konnte ich in seiner Stimme die Aufregung hören, die in meinem Verstand widerhallte. ?Ich kann von einem Ende der Welt zum anderen in einer Million Schattierungen von Grau sehen. Es gibt keinen Himmel, keinen Boden, keine Luft, nur Partikel um mich herum, schwebend, fallend, wirbelnd. Ich muss auf magische Weise schweben und atmen ??
Zenas erforschte das nebulöse Land eine Weile, wobei er auf dunstige Kreaturen und Paläste aus Rauch stieß. Obwohl er den Daedrafürsten nie traf, kamen wir zu dem Schluss, dass er sich in Aschengrube befand, in der Ebene, die die Heimat von Malacath sein soll ? Wo Qual, Betrug und gebrochene Versprechen die bittere Luft wie Asche füllen.
?Der Himmel steht in Flammen?, hörte ich ihn sagen, als er in das nächste Reich weiterzog. ?Der Boden ist schlammig, doch begehbar. Ich sehe geschwärzte Ruinen überall um mich herum, als ob hier in längst vergangener Zeit ein Krieg gefochten wurde. Die Luft ist eisig kalt. Ich beschwöre Wärme um mich herum, doch ich habe immer noch das Gefühl, als ob von allen Seiten Eisdolche auf mich einstechen.?
Dies war Kalthafen, wo Molag Bal regierte. Es erschien Zenas wie ein Nirn der Zukunft, unter der Herrschaft des Herrn der Gewalt, verwüstet und öde, erfüllt von Leiden. Ich konnte Morian Zenas angesichts der Bilder, die er sah, weinen hören, und sein Zittern beim Anblick des Kaiserpalasts fühlen, der mit Blut und Exkrementen beschmiert war.
?Zu viel Schönheit?, keuchte Zenas, als er in das nächste Reich kam. ?Ich bin schier geblendet. Ich sehe Blumen und Wasserfälle, majestätische Bäume, eine Stadt aus Silber, doch alles ist verschwommen. Die Farben verlaufen wie Wasser. Nun regnet es, und der Wind duftet wie Parfüm. Dies muss Mondschatten sein, wo Azura herrscht.?
Zenas hatte Recht, und überraschenderweise erhielt er sogar eine Audienz bei der Königin von Sonnenauf- und Sonnenuntergang in ihrem Rosenpalast. Sie lauschte lächelnd seiner Erzählung und prophezeite ihm vom Kommen des Nerevarine. Mein Meister fand Mondschatten so wunderschön, dass er am liebsten, wenn auch schier blind, für immer dort geblieben wäre, doch er wusste, dass er weiterziehen und seine Entdeckungsreise abschließen musste.
?Ich befinde mich in einem Sturm?, sagte er zu mir, als er das nächste Reich betrat. Er beschrieb eine Landschaft mit dunklen, gekrümmten Bäumen, heulenden Geistern und wogenden Nebeln, und ich glaubte, er sei vielleicht in den Totenländern von Mehrunes Dagon angekommen. Doch dann sagte er rasch: ?Nein, ich bin nicht mehr in einem Wald. Es blitzte, und nun bin ich auf einem Schiff. Der Mast ist zerschmettert. Die Mannschaft ist niedergemetzelt. Da kommt etwas durch die Welle ? Oh, Ihr Götter! Moment, jetzt bin ich in einem feuchten Kerker, in einer Zelle ??
Er war nicht in den Totenländern, sondern in Modderfenn, dem Albtraumreich von Vaermina. Alle paar Minuten gab es einen Blitzschlag, und die Realität veränderte sich, wurde jedes Mal noch grauenvoller und erschreckender. Im einen Augenblick ein dunkles Schloss, eine Höhle voll geifernder Bestien im nächsten, dann ein Sumpf im Mondeslicht, ein Sarg, in dem er lebendig begraben war. Die Furcht gewann die Oberhand über meinen Meister, und er begab sich rasch in das nächste Reich.
Ich hörte ihn lachen: ?Hier fühle ich mich wie zu Hause?.
Morian Zenas beschrieb mir eine endlose Bibliothek, Regale, die sich in jede Richtung erstreckten, Stapel auf Stapel. Buchseiten schwebten auf einem mysteriösen Wind daher, den er nicht fühlen konnte. Jedes Buch hatte einen schwarzen Einband ohne Titel. Er konnte niemanden sehen, spürte jedoch die Präsenz von Geistern, die sich durch die Stapel bewegten, Bücher durchblätterten, immer auf der Suche.
Es war Apocrypha, die Heimat von Hermaeus Mora, wo man alles verbotene Wissen finden kann. Ich fühlte ein Schaudern in meinem Geist, doch ich konnte nicht sagen, ob es von mir selbst oder von meinem Meister kam.
Morian Zenas reiste niemals mehr in ein anderes Reich, so weit ich weiß.
Bei seinen Besuchen in den ersten vier Reichen hatte mein Meister ständig mit mir gesprochen. Nach seiner Ankunft in Apocrypha wurde er stiller, als er in die Welt der Forschungen und Studien gelockt wurde, der Leidenschaften, die sein Herz auf Nirn beherrscht hatten. Egal, wie verzweifelt ich versuchte, ihn zu rufen, er hatte seinen Geist vor mir verschlossen.
Hin und wieder flüsterte er: ?Das kann doch nicht sein ??
?Darauf käme wohl nie jemand ??
?Ich muss mehr darüber erfahren ??
?Ich sehe die Welt, den Schimmer einer letzten Illusion, sie zerbröckelt um uns herum ??
Ich rief nach ihm, flehte ihn an, mir zu sagen, was geschah, was er sah, was er erfuhr. Ich versuchte sogar, Beschwörung zu benutzen, um ihn zu rufen, als sei er selbst ein Daedra, doch er weigerte sich, diesen Ort zu verlassen. Morian Zenas war verloren.
Zuletzt hörte ich vor sechs Monaten ein Flüstern von ihm. Davor waren es fünf Jahre, und davor drei. Seine Gedanken ergeben in keiner Sprache mehr einen Sinn. Vielleicht ist er immer noch in Apocrypha, verloren, aber glücklich, in einer Falle, der zu entfliehen er sich weigert.
Ich würde ihn retten, wenn ich könnte.
Ich würde sein Flüstern zum Erstummen bringen, wenn ich könnte.